Ed Speleers: Dragonrider | Interview TeenHollywood.com

Vous avez sûrement dû entendre parler de ces soudaines Success Stories hollywoodiennes. Parfois elles sont d’origines anglaises. Le charmant Ed Speleers n’avait joué que lors de pièces scolaires lorsque son audition DVD fut remarquée par le directeur du film Eragon, Stefen Fangmeier. La production était sur le point de commercer à tourner lorsque le jeune acteur impressionna l’équipe qui le vit comme le plus apte à jouer le rôle titre dans ce film épique basé sur la série de romans de Christopher Paolini narrant l’histoire d’un adolescent fermier et de son dragon. Ed a bien sûr « bluffé » tout le monde et a été du jour au lendemain jeté sous les feux de la rampe. Il était récemment en ville savourant son voyage à Hollywood. Il ressentit une vive émotion lorsqu’il se pencha juste à la fenêtre de sa chambre d’hôtel pour voir le fameux signe d’Hollywood.

Le jeune anglais fait actuellement un petit tour de promotion pour se présenter aux membres de la presse. Et par chance TeenHollywood a pu s’asseoir et parler avec jeune et néanmoins sexy acteur dans l’aAvalon Hotel situé dans Beverly Hills récemment. Ok, ce gars est adorable ! Ouais, c’est probablement à cause de son accent et, de son sourire !

Nous avons appris que le nom de famille de Ed est d’origine belge, ce qu’il ressent à propos des Hollywood party, le genre de musique qu’il aime, son genre de fille, les acteurs américains contre les acteurs anglais, comment c’est d’être un acteur et de chevaucher un dragon qui n’existe pas. Oh et que sa marginalité n’est qu’un challenge : Il a une playstation et joue à « GTA » mais … « La mûre ? C’est pas un fruit qu’on trouve dans les buissons ? J’essaye de me procurer un ordinateur portable ! » ; Allez installe-toi bien et rejoins-nous …

TH : raconte-nous comment tu as obtenu ton rôle d’Eragon.

Ed : Je pense qu’il y a un peu de chance dans tout ça, car j’ai teint mes cheveux en blond seulement deux semaines avant l’audition (rit). Mon professeur de théâtre m’a beaucoup encouragé. Je me suis rendu à une audition à Hammersmith et j’y ai rencontré le directeur, Stefen Fangmeier, ainsi que le producteur et j’ai eu l’intuition qu’il fallait que je passe cette audition, j’avais confiance en moi mais je ne pensais pas du tout obtenir un rôle tel que celui-ci. Ils m’ont ensuite dit qu’ils m’enverraient un script et ils me l’ont envoyé avant la seconde audition, alors j’ai commencé à trouver cela vraiment excitant. Je n’ai rien entendu. Cela faisait environ dix jours que je me rongeais les ongles de stress et mon père m’a enfin appelé pour me dire « tu as le rôle ».

TH : Qu’est ce qui les a tant impressionné lors de ton audition ? Juste quelques vidéos de tes pièces de théâtre scolaires ou autre chose ?

Ed : Je ne sais pas. Quand nous sommes allés à Hungary, le coach m’a montré ça en m’expliquant « voilà ce que tu dois faire et ce que tu ne dois pas faire ». J’ai vu beaucoup d’autres auditions et j’étais le seul à avoir eu le script. Peut être que ça a été la clé. Il n’y avait rien de scolaire et je n’avais jamais tourné de publicité à la télévision. C’est mon premier travail en tant que professionnel. Mais, pour ce qui est de jouer, je fais ça depuis que j’ai trois ans je crois. Mon premier grand rôle a été celui de Puck dans « Midsummer Night’s Dream ». C’était sur cette scène que je me suis dit « c’est vraiment quelque chose que j’aimerais continuer de faire ». Jouer était une des très peu nombreuses choses sur lesquelles j’étais vraiment concentré. J’adorais faire du sport et je n’aimais pas vraiment les études, mais jouer est une des choses si je devais le faire pendant quatre heures d’affilées, je serais vraiment heureux ! Beaucoup d’amis avec lesquels je jouais, après beaucoup d’heures passées à jouer me disaient « on peut arrêter maintenant ? ». Mais j’étais heureux d’être là !

TH : Pour Eragon, ont-ils dû t’apprendre comment combattre à l’épée et monter à dos de dragon ?

Ed : Hé bien en fait nous ne pouvions pas nous exercer pour ce qui était du dragon mais nous nous sommes un petit peu entraînés pour ce qui est du combat à l’épée. Environ trois semaines avant le tournage ils m’ont fait faire de la gym pendant au moins une heure tous les matins suivis de deux heures de combat à l’épée, deux heures d’équitation, deux heures d’apprentissage au tir à l’arc et trois heures de cours de théâtre tous les jours. J’adore ça parce que c’était une nouvelle expérience pour moi. J’aurais pu faire de l’équitation avant mais dans ce contexte (celui du film). Pour le travail à l’épée j’ai maintenant personnellement une épée de Samouraï dans mon jardin et j’ai hâte d’apprendre de nouvelles techniques avec cette arme, si nous le pouvons. Nous y réfléchissons actuellement.

TH : As-tu découvert quelque chose de surprenant à propos de ton personnage ?

Ed : J’ai trouvé qu’il avait beaucoup de cœur et de réflexion. Je pense que le fait qu’il ait beaucoup de cœur le rend très attachant. C’est un campagnard qui a l’habitude de vivre en compagnie des animaux. Il a une immense sensibilité et c’est ce pourquoi il mûrit. En supposant que mes performances soient bonnes et que celles de Saphira le soient aussi, cela montrerait qu’il y a une sorte d’amour pur, une notion d’amitié et de famille etc… Il est clair qu’ils ont chacun une passion pour l’autre et une sérieuse détermination et c’est ce pourquoi je suppose qu’ils sont capables de survivre.

TH : Cool ! Est-ce que tu vis en Amérique maintenant ?

Ed : J’espère vivre à Londres. Ou essayer de m’y installer car là bas les prix sont vraiment faibles. J’y ai déménagé avec ma mère.

TH : Hey, tu fais attention à ton argent, c’est bien !

Ed : C’est la première chose que j’ai pensé à faire.

TH : Quelle est la première chose que tu as acheté lorsque tu as eu le rôle ?

Ed : Plein de choses pour mes amis et moi. Je n’ai pas beaucoup acheté pour le moment. Quelques petites choses pour ma mère mais rien de spécial. Je me suis acheté ma première voiture mais là encore ça n’a rien d’extraordinaire. C’est parfait pour moi mais ce n’est rien d’extraordinaire. Je n’ai pas vraiment beaucoup d’argent à dépenser.

TH : Nous comprenons que tu as lu les livres. Comment était le script de ce premier film par rapport au livre ?

Ed : Il contient tout ce que le livre veut vous faire passer. Ce que vous ressentez après avoir lu le livre, vous le ressentirez après avoir vu le film. Bien sûr, comme n’importe quel film et n’importe quel livre, si vous deviez filmer chaque page du livre, nous nous retrouverions à regarder le film pendant quatre jours donc il y a évidemment des choses à changer mais la plupart du film est là et tout ce qui est important dans l’histoire est là et les personnages sont là, tout y est ! J’ai une bonne intuition à propos de ce film. Je n’ai pas vu beaucoup de scènes du film mais le peu dont j’ai vu, j’en suis content !

TH : Qu’est ce qui était, pour toi, important de garder fidèle au livre à propos du personnage ?

Ed : Tout est essentiel. Entre autre la courbe de son apprentissage, son évolution en âge et son portrait, il est entre la fin de l’adolescence et le début de la majorité. Je devais représenter cela avec l’ajout du fait qu’il devient dragonnier, ce qui n’arrive pas à beaucoup de gens. J’ai essayé de le garder sympathique et naturel et sensible en essayent de ne pas le rendre vulnérable, idiot ou un emblème héroïque.

TH : As-tu vu une scène du dragon et toi ?

Ed : Je viens juste de voir les images du dragon final. Je n’ai pas beaucoup vu de scènes, juste vraiment quelques unes. Lors des scènes avec le dragon je jouais contre une balle de tennis orange la plupart du temps, ce qui est bien mais astucieux. J’ai depuis parlé avec Christopher (Paolini, l’auteur du livre) et je lui ai expliqué comment j’imaginais Saphira (le dragon) et comment je jouais avec elle. Je l’imaginais comme un mélange entre ma meilleure amie et ma mère et il a dit « c’est exactement ça ». Ce que j’ai entendu m’a donné confiance en moi.

TH : Vous avez tourné quelques scènes à Hungary. Qu’as-tu fait pendant tes heures hors tournage ? Vous n’étiez que 17.

Ed : Oui mais je suis anglais (sourit). J’avais mon chien avec moi, Rupert, un Shepherd allemand, et nous avions pour habitude de trouver des bons bois ou des bonnes places pour le promener et la nourriture là bas était très bonne. J’ai passé beaucoup de temps à aller au château de Buda et je restais là à regarder la ville ou à lire mon script. J’ai fait beaucoup de marche autour de la ville, visitant les musées ou les galeries. Budapest est une des villes les plus surprenantes.

TH : Quel a été ton plus gros choc lors du tournage de ce premier grand film ?

Ed : « comme c’est lent ! ». J’étais tout le temps sur scène, pendant une heure et demie, bang bang bang. Dans dix heures de tournage, on n’en retient que deux lignes. Mais c’est quelque chose que j’ai appris à apprécier et c’est bien mais c’est très étrange au début. Heureusement j’avais avec moi les autres acteurs et le reste de l’équipe pour s’assurer que je n’étais pas trop stressé et que je restais frais tous les jours.

TH : Es-tu frappé par le manque de modestie de la part de jeunes acteurs du grand écran ? Tu cherches à jouer et ils cherchent à devenir célèbres.

Ed : Quelques uns des acteurs américains stars, sont-ils encore star actuellement ? Mais tout en ayant dit ça il y a quand même beaucoup d’acteurs talentueux comme par exemple un acteur avec qui je travaille, Garrett Hedlund, à mes yeux c’est une star ! C’est quelqu’un qui joue très bien et je ne l’ai jamais vu dans un magasine ou autre chose. Et s’il était dans un magasine, il ne s’en venterait pas.

TH : Es-tu préparé à aborder tous les enfants et les fans avec les questions que les fans posent habituellement ?

Ed : je le suis tant qu’ils n’essayent pas de me frapper à coup d’épée ! Je n’approuverai pas ça.

TH : Quelle sorte de musique aimes-tu ?

Ed : nous en aurions pour la journée si je les citais tous ! John Butler Trio, Bedouin Soundclash, The Rolling Stones, Van Morrison, Bob Marley, Kinks, Arctic Monkeys, Beautiful Girls.

TH: À quels acteurs aimerais-tu ressembler ?

Ed : Je suis u très grand fan de Johnny Depp et de Christian Slater. « True Romance » est l’un de mes films préférés. J’aime bien Matt Damon, j’aime bien Christopher Walken. J’aime Heath Ledger. J’aime beaucoup d’acteur.

TH : De retour chez toi, comment tes amis ont-ils réagi face à ton succès ?

Ed : Ils me demandent tout le temps « tu pourrais nous ramener des habits ou des épées ? ». Mais oui, mes amis et ma famille m’ont prouvé le plus grand soutien. Je viens d’une famille dont mes parents sont séparés et même s’ils ne voient pas de la même façon plusieurs choses, lorsque elles viennent à moi, ils ont ce même regard. Ils m’ont accompagné ensemble dans ce que je faisais donc je ne remercierai jamais assez ma famille et mes amis.

HT : Quand est ce que tu es tombé face à la réalité « p*****, c’est moi dans cet énorme film ? »

Ed : C’était un moment vraiment distinct pour moi lorsque j’étais en Slovaquie, quand j’étais au sommet de cette montagne, surplombant les montagnes et villes slovaques et Sienna Guillory qui joue Arya, juste elle et moi (il sourit et rit), euh, avec juste un hélicoptère tournant sans cesse autour de nous pour prendre la meilleure scène tout le temps, je l’ai juste regardé et j’ai pensé « p*****, je fais quelque chose d’énorme là. C’est irréel ». Je me sentais littéralement tout en haut du monde à ce moment là.

TH : Etais-tu un fan de romans de fantasy ou du Seigneur des Anneaux ?

Ed : je suis un fan des deux, livres et films, mais je n’apprécie pas de genre spécifique. Je ne me suis jamais déguisé en Frodon ou autre mais j’adorais les films !

TH : Une question plus personnelle : où aimerais-tu emmener quelqu’un et quel genre de personne serait-ce ?

Ed : je dois être prudent avec ce que je dis parce que ma copine ne serait pas contente.

TH : Oooo, ok. Donc, où emmènerais-tu ta copine ?

Ed : hé bien, c’est différent voyez-vous, parce que je connais ses goûts. Je les emmènerais à la plage derrière ma maison … Humm, j’y ai emmené toutes mes copines (rit).

TH : Whoops !

Ed : Hé bien voyez-vous, bien que ce soit juste derrière chez moi il y a des vents typiquement anglais et vous avez le sable aussi. Il fait très froid et vous pouvez vous tenir tous les deux là bas. Quel genre de personne j’apprécie ? Juste quelqu’un qui me fera rire et qui ne me lancera pas de vannes tout le temps. Je suppose qu’il y a beaucoup de gens comme ça ici.

TH : Combien de choses as-tu vu aux States ?

Ed : Hé bien, ma grand-mère est dans le Texas, près de San Antonio. Avec le film, ça a été ma première expérience au States. J’ai beaucoup aimé New York et San Diego était cool aussi. J’ai eu quelques problèmes dans l’aéroport Charlotte. Ils ne m’aimaient pas pour des raisons que j’ignorais. Ils n’ont pas voulu me laisser prendre mon propre passeport. Mais a part ça, tout a été comme sur des roulettes. J’ai vraiment apprécié. J’aimerais vraiment visiter San Francisco. Ce qui est super dans ce pays c’est qu’il y a plein de choses à voir et à faire.

TH : En quoi es-tu vraiment doué et en quoi ne l’es-tu pas ?

Ed : Je ne suis pas doué en communication. Je veux dire lorsqu’il faut rappeler des gens ou d’autres choses dans le genre. Si je dis que je suis doué en quelque chose, mes amis on déjà entendu ça … Ou si quelque chose fait comprendre que je suis doué en quelque chose, je ne le suis pas. On trouvera …

TH : Les réactions des fans peuvent parfois ensevelir. As-tu déjà parlé avec des gens comme Daniel Radcliffe ou d’autres jeunes stars comme ça à propos de comment faire face à ça ?

Ed : J’espère que je ne serai jamais prit dans la toile. Il passe outre ça. Il fait ce qu’il pense être bien ce qui est super. Je ne lui ai jamais parlé. Le seul adolescent star avec lequel j’ai parlé dans ce milieu c’est William Moseley (qui a joué Peter dans le Monde de Narnia). C’est bizarre parce que j’essayais d’obtenir le rôle de Peter dans Narnia lors du casting. Je lui ai dit « tu te rappelles de moi lors de l’audition ? » et il a dit « oui, bien sûr » parce que je lui avais dit « je pense que c’est toi qui as eu le rôle » et il avait répondu « non, je pense que c’est toi ». On aurait pu se complimenter durant la journée. J’avais un bon feeling avec lui, il me parlait du fun que tu pouvais avoir dans ce milieu. Il est si enthousiaste à propos de tout ça. Il me disait « tu auras beaucoup de fun à parler avec la presse et les avant premières et tout ce genre de truc ». Il a vraiment rendu tout ça excitant pour moi.

TH : Tu penses que les acteurs anglais et américains sont différents ?

Ed : L’éducation est juste différente. Les acteurs anglais sont sur scène et c’est super. C’est une chose qui fait tellement plus rêver ici. « Si je peux aller à Hollywood, je deviendrais un grand acteur et ce sera énorme ». Quand vous allez à Los Angeles vous voyez toutes ces strass et ces paillettes glamour et je ne suis pas contre mais ça veut juste dire « viens et deviens un acteur ». En Angleterre c’est plutôt « viens sur scène ». C’est juste que les choses prennent un chemin différent.

TH : Des plans comme retourner en cours ?

Ed : Je n’ai pas fini mes A-Levels (note de la traductrice : en Angleterre c’est l’équivalent de notre baccalauréat. Sauf qu’ils choisissent les matières qu’ils veulent présenter et ils ont un examen pour chaque matière. Plus tu as de A-Levels et plus tu peux te diriger vers de grandes écoles.). Mais je ne pouvais pas rater une opportunité telle que celle-ci. Si cette carrière ne marche pas pour moi, j’aimerais réessayer. J’ai le choix de retourner en cours et étudier mais, me connaissant, je ne ferais probablement rien d’extraordinaire. Si je ne peux pas jouer, je ne partirai pas pour autre chose. Ca ne m’intéresse pas. Si je ne peux pas vivre mon rêve, je voudrais faire la deuxième chose que je préfère, et c’est vivre une petite vie tranquille et être dehors toute la journée.

TH : As-tu la tentation de sortir et passer par les Hollywood party ?

Ed : les gens vont sortir et passer du bon temps. Je suis complètement honnête. Comment les gens veulent que je me comporte, ça ne me dérange pas, mais je suis jeune, et je prendrai volontiers une boisson ou deux (Ed a 18 ans et dans le pays d’où il vient il est autorisé à boire). Tu commences à voir le chemin que tu veux prendre dans ta carrière, puis tu es fixé. Je peux accomplir quelque chose, et puis je peux ensuite faire la fête. Travailler dur puis jouer bien. Ne confondez pas ces deux choses et je ne pense pas que si l’on me voit dans un club on m’offrira un rôle dans un film. Il y a assez de gens ici qui montrent le bon exemple. Les meilleurs acteurs sont célèbres pour leur jeu d’acteur, pas pour leurs sorties dans des clubs.

TH : De toute évidence Emma Watson a été photographiée en train de poire une bière et tout le monde a été choqué. As-tu peur de ce genre de choses ?

Ed : Si quelqu’un me prend en train de boire une bière, tout d’abord, le seul endroit où tu pourrais avoir des ennuis pour ça c’est ici. Autre part il n’y a pas de problème. Je ne peux rien faire si je suis assis dans un pub avec de la Guinness et que quelqu’un prend une photo. SI quelqu’un dit quelque chose je dirai juste « regarde, je suis désolé, mais j’ai le droit de boire une bière pendant mon temps libre ». Mon père a dirigé trois pubs lorsque j’ai grandit et je l’aidais lorsque j’avais deux ans. Il n’y avait beaucoup d’alcool. Mais, comme les français, lorsque tu es jeune, tu apprends à boire un peu de vin.

TH : Que feras-tu si Eragon ne fais pas un carton ?

Ed : Si le film ne rapporte pas beaucoup de sous, il y a une très haute falaise à côté de chez moi …

TH : On sait que t’es pas sérieux ! Que feras-tu ensuite ?

Ed : je veux des scripts qui soient pour moi des challenges. Jouer dans un film indépendant pourrait être un bon chemin à prendre. Je ne veux pas faire quelque chose de sombre trop différent de ce que je suis mais quelque chose qui me sépare peut être de cette image d’Eragon, excitant avec un directeur frais. On verra. Je suis ouvert à toute suggestion.


Treduction by Marie